Le piment dans la cuisine antillaise : tradition et passion
- Lindaz
- 18 mai
- 1 min de lecture
Une culture du goût épicé
Aux Antilles, le piment ne sert pas juste à relever un plat. Il fait partie intégrante de l’identité culinaire, et même de la mémoire collective.
Le piment végétarien : star des cuisines créoles
Appelé « piment doux » ou « piment végétarien », c’est une variété qui a l’arôme sans la brûlure.
Très utilisé dans les plats mijotés, les sauces, les court-bouillons, il donne du goût sans effrayer.
Le scotch bonnet ou habanero : pour les puristes
Utilisé dans les fameuses sauces pimentées antillaises.
On le glisse parfois entier dans un plat pour en extraire juste l’arôme, sans le percer.
Ou bien on le broie pour les préparations explosives comme les marinades ou les sauces « chien ».
Le piment, un ingrédient aux multiples rôles
Il rehausse les saveurs.
Il conserve les plats (grâce à ses propriétés antiseptiques).
Il est rituel, présent sur toutes les tables créoles.
Il est même utilisé dans certaines astuces médicinales traditionnelles.
Anecdote : "Ti bwè dlo !"
Quand un piment est trop fort, on dit « bois de l’eau »… mais en réalité, c’est du lait ou du pain qu’il faut ! L’eau ne dissout pas la capsaïcine, elle peut même empirer la sensation.
Une tradition que nous respectons
Chez Lindaz Pepper, on s’inspire de cette richesse pour créer des sauces artisanales : faites main, avec du respect pour le produit, pour le goût, et pour ceux qui les dégustent.
Commentaires